Les réfugiés face aux défis de la maladie et de la santé
Parmi les plus grands problèmes que rencontrent les réfugiés figurent les problèmes de santé, car ils sont plus susceptibles de:
- Maladies infectieuses et épidémies.
- Hypothermie.
- Brûlures.
- Maladies gastro-intestinales.
- Maladies cardiovasculaires.
- Complications liées à la grossesse et à l’accouchement.
- Diabète.
- Hypertension artérielle.
Les femmes réfugiées et migrantes font souvent face à des défis spécifiques, notamment en matière de santé maternelle, infantile et sexuelle et reproductive, ainsi que de violence.
La vulnérabilité des réfugiés et des migrants aux risques associés à:
- Les mouvements de population – troubles psychosociaux.
- Problèmes de santé reproductive.
- Mortalité néonatale élevée.
- Usage de drogues.
- Troubles alimentaires.
- Alcoolisme.
- Exposition à la violence – augmente leur vulnérabilité aux MNT.
Le principal problème en ce qui concerne les maladies non transmissibles est la perturbation des soins, soit en raison du manque d’accès, soit en raison de la décimation des systèmes de santé et des prestataires ; Le déplacement interrompt le traitement en cours nécessaire pour les affections chroniques.
Les réfugiés face aux défis de la faim
Il existe un lien évident entre les nutriments et la santé publique.
Les maladies transmissibles aggravées en partie par la malnutrition sont responsables de millions de décès évitables chaque année.
Les mouvements massifs de population peuvent entraîner des taux élevés de malnutrition, de maladies et de décès.
La pénurie de nourriture rend également les personnes plus vulnérables aux abus sexuels et à l’exploitation.
Les régimes alimentaires de mauvaise qualité et les carences en vitamines et minéraux contribuent au retard de croissance chez les enfants, causant des dommages irréparables.
De plus, pour ceux qui vivent avec des maladies chroniques, telles que le VIH/sida, une nutrition adéquate est essentielle pour maintenir le système immunitaire.
Les réfugiés face aux défis de la pauvreté
Selon les résultats de l’enquête sur le terrain, (90 %) des familles de réfugiés utilisent au moins une stratégie d’adaptation négative, comme limiter l’apport alimentaire ou acheter des biens ménagers à crédit, pour continuer leur vie quotidienne.
(52 %) des familles en dehors du camp ont déclaré qu’elles ont accès à des revenus du travail, contre (25 %) dans les camps de réfugiés.
Un des obstacles les plus importants qui se dressent sur le chemin des réfugiés pour obtenir leurs droits les plus fondamentaux est la pauvreté extrême.
Les enfants dans les camps d’al-Lujaz ne peuvent pas obtenir de la nourriture saine ou une éducation adéquate en raison de la pauvreté extrême, en plus de la pauvreté extrême qui conduit au mariage précoce.
Les réfugiés face aux défis de la confidentialité et de la sécurité
Les abris de réfugiés souffrent de surpeuplement, mais l’afflux constant de réfugiés et l’augmentation des effectifs empêchent les responsables de ces centres de penser à des solutions préservant la confidentialité des femmes, augmentant ainsi les chances d’attaques de harceleurs, selon un rapport du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés.
Les femmes et les filles représentent environ (50 %) de tout groupe de réfugiés ou de personnes déplacées.
Ce groupe est souvent le plus vulnérable en raison de son manque de protection.
D’autre part, il est difficile d’accepter l’idée de centres mixtes pour ceux venant des pays du Moyen-Orient, notamment avec différentes cultures, sociétés, religions et sectes, dans un contexte de division sociale exacerbée dans la région.
Réfugiés face aux défis de l’éducation
L’éducation protège les enfants et les adolescents réfugiés du recrutement forcé dans des groupes armés, du travail des enfants, de l’exploitation sexuelle et du mariage des enfants.
L’éducation renforce également la résilience communautaire.
L’éducation donne du pouvoir en donnant aux réfugiés les connaissances et les compétences nécessaires pour mener une vie productive, épanouissante et indépendante.
Seulement (63 %) des enfants réfugiés sont inscrits à l’école primaire, contre un taux mondial de (91 %).
Le taux d’inscription des réfugiés chute fortement au cours des années d’école secondaire, avec seulement (24 %) des réfugiés ayant la possibilité de terminer l’école secondaire, bien en deçà du taux mondial de (84 %).
La forte baisse entre les deux taux d’éducation primaire et secondaire est “le résultat direct du manque de financement pour l’éducation des réfugiés”.
Faire un Don pour Aider les Réfugiés en Camp
L’éducation est un droit fondamental des réfugiés, et de nombreux enfants réfugiés souffrent d’une éducation médiocre et de moyens éducatifs insuffisants.
Vous pouvez faire un don pour aider les enfants à obtenir leur éducation grâce à l’Organisation Bonyan, qui fournit ces services dans des camps de réfugiés dans plusieurs pays.
Vous pouvez consulter les projets de Bonyan sur ses pages sur les réseaux sociaux.
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FAQ
Quels Problèmes Y A-T-Il Dans Un Camp De Réfugiés ?
Les réfugiés doivent faire face à des problèmes de santé multiples car leur situation est précaire.
Quels sont les dangers de vivre dans un camp de réfugiés ?
– Surpopulation.
– Manque d’eau.
– Installations d’assainissement et d’hygiène (WASH).
– La vie privée entrave la qualité de vie des habitants et est encore aggravée pour les 50 % de réfugiés qui sont des filles.
Comment sont traités les réfugiés dans les camps de réfugiés ?
Les réfugiés dans les camps souffrent d’un manque de nourriture et d’articles non alimentaires. Ils font également face à des conditions difficiles en toutes saisons de l’année.